mardi 20 mai 2014

Une femme modèle



Le Seigneur dit : « Tous ne comprennent pas cette parole, mais seulement ceux à qui cela est donné. » Matthieu 19 : 11.
Le vent de la modernisation apporté par les occidentaux a suscité de nombreux changements dans la société. Les véritables valeurs et la vraie sagesse sont maintenant considérées comme désuètes et ont été tout simplement remplacées par ce que les hommes aiment et par ce qui répondent à la satisfaction de tous.
Parmi ces présumées « modernisations », l’on citerait en particulier la lutte que mènent de nombreuses femmes aujourd’hui pour changer leur statut dans la société afin d’accéder à une reconnaissance qui leur aurait été depuis longtemps refusée. L’image de la femme pieuse qu’annoncent les Saintes Ecritures s’en retrouve entièrement oubliée, et le plus surprenant c’est que ces changements envahissent davantage les sociétés des soi-disant chrétiens que celles de ceux qui ne connaissent pas le Christ.
Allant de l’apparence jusqu’au moral, du cercle familial jusque dans toute la société, ces changements se multiplient et chaque jour encore plus. Mais une vraie chrétienne devrait uniquement rester sur les seuls enseignements de notre Seigneur Jésus Christ.
Les Saintes Ecritures nous enseignent que les femmes devront être «vêtues d'une manière décente, avec pudeur et modestie, ne se parent ni de tresses, ni d'or, ni de perles, ni d'habits somptueux, mais qu'elles se parent de bonnes œuvres, comme il convient à des femmes qui font profession de servir Dieu » (1 Timothée 2 : 9, 10). Nulle beauté extérieure ne saurait en effet nous recommander auprès du Seigneur. La vraie beauté s’exprime plutôt par la sagesse et l’excellence du caractère et de la conduite. C’est la bonté du cœur qui nous rend agréables à Dieu. Cela ne veut cependant pas dire que nous devrions nous négliger physiquement, non. Comme l’apôtre Paul l’annonce, nous devrions être dignes de servir le Seigneur, soignées, propres, vêtues décemment et pudiquement. Ce que le Seigneur veut c’est que nous ayons une « manière de vivre chaste et réservée » ; et, « non cette parure extérieure qui consiste dans les cheveux tressés, les ornements d'or, ou les habits qu'on revêt, mais la parure intérieure et cachée dans le cœur, la pureté incorruptible d'un esprit doux et paisible, qui est d'un grand prix devant Dieu » (1 Pierre 3 : 2 – 4).
« Les femmes, doivent aussi être honnêtes, non médisantes, sobres, fidèles en toutes choses » 1 Timothée 3 : 11. Pour les femmes d’âges mûres, « elles doivent aussi avoir l'extérieur qui convient à la sainteté, n'être ni médisantes, ni adonnées au vin; qu'elles doivent donner de bonnes instructions, dans le but d'apprendre aux jeunes femmes à aimer leurs maris et leurs enfants, à être retenues, chastes, occupées aux soins domestiques, bonnes, soumises à leurs maris, afin que la parole de Dieu ne soit pas blasphémée » (Tite 2 : 3 – 5).
Au sein de la famille, le Seigneur Jésus Christ enseigne à toutes les femmes de rester soumises à leur mari, comme il convient dans le Seigneur (Colossiens 3 : 28, Ephésiens 5 : 22, 1 Pierre 3 : 1) « car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l'Eglise, qui est son corps, et dont il est le Sauveur. Or, de même que l'Eglise est soumise à Christ, les femmes aussi doivent l'être à leurs maris en toutes choses » (Ephésiens 5 : 23, 24). Cette soumission ne signifie cependant pas que la femme soit inférieure à son époux. D’ailleurs, c’est ce que révèle le fait que l’Eternel notre Dieu a créé la femme par la cote tirée de l’homme et non par un os de sa tête ou de son pied (Genèse 2 : 21, 22).
Les Saintes Ecritures enseignent aussi que : « Comme dans toutes les Églises des saints,  que les femmes se taisent dans les assemblées, car il ne leur est pas permis d'y parler; mais qu'elles soient soumises, selon que le dit aussi la loi. Si elles veulent s'instruire sur quelque chose, qu'elles interrogent leurs maris à la maison; car il est malséant à une femme de parler dans l'Église. » 1 Corinthiens 14 : 33 – 35. L’apôtre Paul réaffirme cela dans sa lettre pour Timothée : « Que la femme écoute l'instruction en silence, avec une entière soumission. Je ne permets pas à la femme d'enseigner, ni de prendre de l'autorité sur l'homme; mais elle doit demeurer dans le silence. Car Adam a été formé le premier, Eve ensuite; et ce n'est pas Adam qui a été séduit, c'est la femme qui, séduite, s'est rendue coupable de transgression. Elle sera néanmoins sauvée en devenant mère, si elle persévère avec modestie dans la foi, dans la charité, et dans la sainteté. » 1Timothée 2 :11 – 15.
Aujourd’hui, ces enseignements des Saintes Ecritures seraient tout simplement jugés comme désuets et assurément, on n’hésiterait pas à dire que depuis le temps où les apôtres avaient écrit ces versets, les contextes ont déjà beaucoup changé. Mais nous, nous savons que le Seigneur Jésus Christ Lui ne varie pas, ni dans Ses propos, ni dans Ses promesses, et que tout ce qui est écrit dans la Bible et véridique et inspiré du Saint Esprit. D’ailleurs, l’apôtre Paul poursuit ce qu’il a dit que « Si quelqu'un croit être prophète ou inspiré, qu'il reconnaisse que ce que je vous écris est un commandement du Seigneur. » 1 Corinthiens 14 : 37.


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