Le Seigneur dit :
« Tous ne comprennent pas cette parole, mais seulement ceux à qui cela est
donné. » Matthieu 19 : 11.
Le vent de la
modernisation apporté par les occidentaux a suscité de nombreux changements
dans la société. Les véritables valeurs et la vraie sagesse sont maintenant
considérées comme désuètes et ont été tout simplement remplacées par ce que les
hommes aiment et par ce qui répondent à la satisfaction de tous.
Parmi ces présumées « modernisations »,
l’on citerait en particulier la lutte que mènent de nombreuses femmes
aujourd’hui pour changer leur statut dans la société afin d’accéder à une
reconnaissance qui leur aurait été depuis longtemps refusée. L’image de la
femme pieuse qu’annoncent les Saintes Ecritures s’en retrouve entièrement
oubliée, et le plus surprenant c’est que ces changements envahissent davantage
les sociétés des soi-disant chrétiens que celles de ceux qui ne connaissent pas
le Christ.
Allant de l’apparence
jusqu’au moral, du cercle familial jusque dans toute la société, ces
changements se multiplient et chaque jour encore plus. Mais une vraie
chrétienne devrait uniquement rester sur les seuls enseignements de notre
Seigneur Jésus Christ.
Les Saintes Ecritures
nous enseignent que les femmes devront être «vêtues d'une manière décente, avec pudeur
et modestie, ne se parent ni de tresses, ni d'or, ni de perles, ni d'habits
somptueux, mais qu'elles se parent de bonnes œuvres, comme il convient à des
femmes qui font profession de servir Dieu » (1 Timothée 2 : 9,
10). Nulle beauté extérieure ne saurait en effet nous recommander
auprès du Seigneur. La vraie beauté s’exprime plutôt par la sagesse et
l’excellence du caractère et de la conduite. C’est la bonté du cœur qui nous
rend agréables à Dieu. Cela ne veut cependant pas dire que nous devrions nous
négliger physiquement, non. Comme l’apôtre Paul l’annonce, nous devrions être
dignes de servir le Seigneur, soignées, propres, vêtues décemment et
pudiquement. Ce que le Seigneur veut c’est que nous ayons une « manière
de vivre chaste et réservée » ; et, « non cette parure extérieure qui
consiste dans les cheveux tressés, les ornements d'or, ou les habits qu'on
revêt, mais la parure intérieure et cachée dans le cœur, la pureté incorruptible
d'un esprit doux et paisible, qui est d'un grand prix devant Dieu » (1
Pierre 3 : 2 – 4).
« Les femmes, doivent aussi être honnêtes, non
médisantes, sobres, fidèles en toutes choses » 1 Timothée 3 : 11. Pour les femmes d’âges mûres, « elles doivent aussi avoir l'extérieur qui convient
à la sainteté, n'être ni médisantes, ni adonnées au vin; qu'elles doivent
donner de bonnes instructions, dans le but d'apprendre aux jeunes femmes à aimer
leurs maris et leurs enfants, à être retenues, chastes, occupées aux soins
domestiques, bonnes, soumises à leurs maris, afin que la parole de Dieu ne soit
pas blasphémée » (Tite 2 : 3 – 5).
Au sein de la famille, le
Seigneur Jésus Christ enseigne à toutes les femmes de rester soumises à leur
mari, comme il convient dans le Seigneur (Colossiens 3 : 28, Ephésiens 5 : 22, 1
Pierre 3 : 1) « car le mari est le chef de la femme, comme Christ est
le chef de l'Eglise, qui est son corps, et dont il est le Sauveur. Or, de même
que l'Eglise est soumise à Christ, les femmes aussi doivent l'être à leurs
maris en toutes choses » (Ephésiens 5 : 23, 24). Cette
soumission ne signifie cependant pas que la femme soit inférieure à son époux.
D’ailleurs, c’est ce que révèle le fait que l’Eternel notre Dieu a créé la
femme par la cote tirée de l’homme et non par un os de sa tête ou de son pied (Genèse
2 : 21, 22).
Les Saintes Ecritures
enseignent aussi que : « Comme dans toutes les Églises des saints, que les femmes se taisent dans les assemblées,
car il ne leur est pas permis d'y parler; mais qu'elles soient soumises, selon
que le dit aussi la loi. Si elles veulent s'instruire sur quelque chose,
qu'elles interrogent leurs maris à la maison; car il est malséant à une femme
de parler dans l'Église. » 1 Corinthiens 14 : 33 – 35.
L’apôtre Paul réaffirme cela dans sa lettre pour Timothée : « Que la
femme écoute l'instruction en silence, avec une entière soumission. Je ne
permets pas à la femme d'enseigner, ni de prendre de l'autorité sur l'homme;
mais elle doit demeurer dans le silence. Car Adam a été formé le premier, Eve
ensuite; et ce n'est pas Adam qui a été séduit, c'est la femme qui, séduite,
s'est rendue coupable de transgression. Elle sera néanmoins sauvée en devenant
mère, si elle persévère avec modestie dans la foi, dans la charité, et dans la
sainteté. » 1Timothée 2 :11 – 15.
Aujourd’hui, ces
enseignements des Saintes Ecritures seraient tout simplement jugés comme
désuets et assurément, on n’hésiterait pas à dire que depuis le temps où les apôtres
avaient écrit ces versets, les contextes ont déjà beaucoup changé. Mais nous,
nous savons que le Seigneur Jésus Christ Lui ne varie pas, ni dans Ses propos,
ni dans Ses promesses, et que tout ce qui est écrit dans la Bible et véridique
et inspiré du Saint Esprit. D’ailleurs, l’apôtre Paul poursuit ce qu’il a dit que
« Si
quelqu'un croit être prophète ou inspiré, qu'il reconnaisse que ce que je vous
écris est un commandement du Seigneur. » 1 Corinthiens 14 : 37.
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